Depuis l’adoption en 2021 du statut de société à Mission au sens de la loi PACTE, œuvrer pour la préservation des ressources de la planète est l’un des objectifs de Mission de Voltalia, lui-même décliné en deux sous-objectifs : réduire l’impact environnemental de nos activités et s’engager pour la préservation de la biodiversité.

Cet objectif est poursuivi par les équipes de Voltalia qui s’attachent à optimiser l’utilisation des sols pour une empreinte environnementale minimale. C’est en ce sens qu’un recours à la pratique de la co-utilisation des sols est mis en place dans les activités photovoltaïques de Voltalia.

La co-utilisation des sols consiste à développer des centrales d’énergie renouvelable auxquelles sont assignées une double-utilisation : toitures, parking, bâtiments agricoles, agrivoltaïsme et éco-pâturage.

En 2022, 33 % des panneaux solaires installés de Voltalia sont implantés sur des sols co-utilisés (dont 76 % de toitures solaires et 24 % d’agrivoltaïsme et éco-pâturage).

Méthodologie : le périmètre de calcul comprend seulement les centrales photovoltaïques de Voltalia car celles-ci ont une emprise au sol importante. Sont exclues les centrales photovoltaïques construites dans des zones géographiques sans valeur pour la biodiversité ou potentiel agricole ou économique, telles que les déserts, les friches industrielles ou les carrières, et où l’activité de Voltalia n’a pas entraîné de perturbation ou de changement d’affectation des sols.

L’éco-pâturage répond aux difficultés d’accès au foncier de la profession agricole

Voltalia peut mettre à disposition auprès des agriculteurs locaux l’accès aux centrales solaires en France et au Portugal, pour ses propres centrales ou pour des tiers. Ainsi, des espèces peuvent ainsi profiter des espaces verts des sites Voltalia : ovins, chevaux, daims, bovins, apiculture…

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L’agrivoltaïsme catalyse la productivité agricole et photovoltaïque

Voltalia soutient l’agriculture locale en développant des projets d’énergie renouvelable au service de l’agriculture. Il s’agit du concept de l’agrivoltaïsme. Celui-ci consiste à coupler une production agricole principale et une production énergétique secondaire en mutualisant les usages d’un même terrain.

Une de leurs innovations réside dans le pilotage de panneaux solaires munis de trackers, qui suivent la course du soleil et fixés sur des structures suffisamment hautes pour ne pas gêner les pratiques culturales. Les systèmes de production implantés sous la structure agrivoltaïque sont : la viticulture, l’arboriculture, le maraîchage, l’horticulture.

Le champ agrivoltaïque de Cabanon (Bouches-du-Rhône) d’une capacité de 3 Mégawatt illustre les résultats de ces synergies. Dès 2022, deux campagnes de production agricoles ont pu être cultivées sur la centrale : des courgettes, melons, pastèques et salades sur la période printanière, puis des blettes, épinards et salades à partir de septembre. Grâce aux panneaux, les cultures ont ainsi pu bénéficier d’ombre en période de fortes chaleur et de protection contre les intempéries.

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Un écosystème d’entreprises qui participe à un usage raisonné des sols

Depuis 2019, l’entreprise Helexia a rejoint le Groupe Voltalia et permet de développer la co-utilisation des sols. Helexia est le spécialiste de la production d’électricité sur site en autoconsommation et de l’optimisation énergétique en développant des projets photovoltaïques sur les parkings et toitures des bâtiments de ses clients.

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En 2022, Helexia a acquis le groupe Cap Sud, spécialisé dans le développement, la construction et l’exploitation de centrales photovoltaïques sur des toitures de bâtiments agricoles, dont l’énergie est vendue sur le réseau. L’acquisition de Cap Sud permet à Voltalia de proposer aux exploitants une gamme d’offres élargie, tout en favorisant les synergies internes.

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