Cela fait longtemps que NORAUTO est pionnier dans le traitement des produits usagés. Aujourd'hui, l'entreprise va plus loin avec la mesure de la valorisation...
Pour chaque type de déchet, Norauto a mis en place une filière spécifique de tri, de collecte et de recyclage... soit 21 filières : Aérosols, Batteries au plomb, Batteries au lithium, Bois, Carton, Chiffons souillés, DEEE, Aluminium, Extincteurs, Ferraille, Filtres, Huiles usagées, Liquides souillés, Liquides de frein, Liquides de refroidissement, Pare-brises, Plastique, Piles, Pneus, Pots catalytiques et Vêtements de travail.
Sur l’exercice fiscal 2018, cela représentait plus de 50 000 tonnes de déchets recyclés dans les centres.
Pour aller encore plus loin, l’entreprise s’est fixée des indicateurs de valorisation des produits usagés, afin de piloter le pourcentage de réemploi, de valorisation matière (nouvelles applications) et de valorisation énergétique (combustible de substitution). L’objectif est de tendre vers le zéro incinération et le zéro enfouissement.
A titre d'exemple, depuis 2010 Norauto recycle 100% des pneus démontés dans les ateliers. A partir des pneus recyclés, un partenaire de Norauto, Roll-Gom, réalise des roulettes de poubelles made in France. Il s’agit d’une valorisation matière.
Une batterie au plomb est également recyclable à quasiment 100% et les huiles usagées des ateliers générées par les vidanges et les réparations sont recyclées à 100%. Pour ces dernières, 57% sont valorisés en une nouvelle huile régénérée (valorisation matière) et 43% sont utilisés comme combustible. (Valorisation énergétique).
En 2018 les vêtements de travail ont été changés avec le challenge de les recycler. Les vêtements marqués Norauto, ne pouvaient pas être donnés ou réutilisés en l’état. Ils étaient également souvent souillés par le travail : les huiles, la graisse et l’usure.
Ils ont donc été rapatriés et confiés à de nouveaux partenaires qui ont pu transformer plus de 25 tonnes de vêtements.